Nul doute qu’hommes et loups se sont volés des proies  avant de devenir complices à la chasse. Alors est né le chien. De nombreuses races de chiens sont le fruit d’une sélection à fins cynégétiques.

Le Golden Retriever n’y a pas échappé. La spécificité de son rôle, rester disponible pour rapporter à la demande le petit gibier, l’a conduit à développer des qualités comme la sagesse au poste, l’écoute à distance, la résistance sur tout terrain, la sociabilité, la finesse de nez, le rapport…


Qualités valorisées maintenant pour la bonne compagnie, l’aide à personne, la recherche en avalanche, le cavage, différents sports canins, …

A l’heure de l’effondrement de la biodiversité, la préservation des qualités de tout Retriever bien né  par un repérage lors de chasses au petit gibier peut sembler archaïque. Cependant le contrôle de ses émotions est le prérequis à toute autre utilisation d’un chien dans des conditions variées et quelquefois difficiles. Et quel environnement offrirait au chien, prédateur d’origine, une stimulation d’une telle intensité ?

 La cynophilie s’appuie donc sur les Field Trial durant lesquels sont tirés des oiseaux pour sélectionner les meilleurs géniteurs.  Heureusement, ces épreuves ne sont généralement réalisées que sur du gibier d’élevage et préservent donc la faune sauvage.

Trouvez l’erreur…


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